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21 novembre 2008

C,D. Un hommage au 33

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Le 22 novembre au Centre Bell, Patrick Roy va se fait offrir un cadeau que peu de gens dans le monde peuvent se vanter d’avoir, c’est de se faire retirer son chandail de joueur d’hockey pour le Canadiens de Montréal.

Patrick Roy peut se sentir choyé, car il va être maintenant parmi les grands du Canadiens comme Dryden, Maurice Richard, Guy Lafleur, Savard, Robinson etc. Il fait partie aussi des grands qui se sont retrouver en froid avec le tricolore. On se rappelle de cette joute contre Détroit en 1995, où l’entraîneur du Canadiens, Michel Tremblay, l’avait laissé croupir devant le filet pendant qu’il se faisait démolir. Ainsi, le retrait de son chandail va permettre à tout le monde de pouvoir tourner la page sur ce malencontreux évènement. «On dit souvent qu'un match ne fait pas une carrière. Mais j'espère que ce match-là n'a pas défait ma carrière à Montréal. Car il y a tellement plus de bonnes choses qui se sont passées durant mon séjour avec le Canadien.» affirme Roy quand on lui a posé la question sur cette évènement.

Un vrai compétiteur

Patrick Roy est un vrai compétiteur et comme le prouve cette citation qu’il a écrit dans le livre à son père qui porte sur lui. «Je veux qu'on se souvienne de moi comme d'un compétiteur qui, tous les soirs, voulait être bien préparé pour jouer à un haut niveau.». «Quand j'étais jeune, j'ai été retranché du midget CC. Si je n'avais pas persévéré, je n'aurais pu faire le saut au midget AAA l'année suivante, et encore moins avoir la carrière que j'ai eue.». Cet instinct de vainqueur lui a permis d’intimider ses adversaires, mais aussi de rassurer ses coéquipiers, car ils savaient que s’ils faisaient une erreur, leur gardien de but était là pour réparer la bévue.

Le souvenir de la coupe

La cérémonie de samedi sera aussi consacrer au souvenir de la victoire de Canadiens en 1993.
On se rappellera que le Canadiens avait réussie en remporter 10 victoires consécutifs en prolongation. «En 1993, si la marque était égale après deux périodes, on en venait presque à souhaiter de se rendre en prolongation. On avait une telle confiance en nous-mêmes qu'on ne pouvait pas perdre.» rajoute Patrick Roy.

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